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Vendredi (29/09/06)
Suite sans fin
Lasse de mon splendide isolement, poussée par des vents adverses, j'ai rompu mon cordon ombilical avec joueb et essaimé vers blogger. Je l'ai trouvé plus "handsome", plus séduisant... Et voilà, dans la dure vie de blogueur, il faut savoir faire des choix, aussi douloureux soient-ils.
A demain... si vous le voulez bien, sur poirebellehelene.blogspot.com
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Ecrit par poirebellehelene, a 21:09 dans la rubrique "Articles".
Mercredi (03/05/06)
une journée
Une journée, que dire d’une journée comme les autres ? Faut-il retenir ce qu’elle a de comme les autres, le plus petit commun multiple de toutes mes journées, ou au contraire ce qu’elle a de différent. Différent, mais pas nouveau, puisque je n’ai pas la prétention d’avoir vécu aujourd’hui quoique ce soit d’inédit, ou d’inimaginable, de non encore inventé, un oubli à rajouter à la création. Donc, quoi, le banal journalier, au point de gagner des lettres de noblesse dans le comique de répétition, le quotidien vécu, revécu, survécu jusqu’à l’éternité de l’éternel retour, le par cœur, couru et parcouru à l’envi et à l’infini ? Ou bien le spécifique du jour, le plat du jour (qui n’est en général qu’un grand classique..) la bulle explosive du chewing gum quotidien, la surprise, le hasard, ou plutôt l’inattendu dont on s’aperçoit qu’il était inévitable.. mais ça, c’est difficile, fatigant, espionner sa propre vie pour y découvrir de l’inhabituel dans les habitudes, est-ce vraiment politiquement correct ? Car espionner ma vie, c’est aussi espionner celle des autres, risquer un poirebellehélènegate, donner ma démission des blogs… Enfin, aujourd’hui, la procédure ne sera pas contradictoire (je ne sais pas ce que ça veut dire, mais je trouve ça cool), je dirai donc sans détour, que ce matin, je me suis levée et que ce soir, je vais me coucher, qu’il y aura une nuit, un matin, et que ce sera le 2° jour. Surtout, ne me dites pas que je me prends pour un dieu, on en a déjà un dans la famille et le polythéisme a fait son temps !
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Ecrit par poirebellehelene, a 21:05 dans la rubrique "Articles".
Mardi (02/05/06)
rando 2
Rando 2 Cela fait une semaine et je remets ça.. Confiante, pas de problèmes de retrouvailles, je retrouverai bien une tête de la semaine dernière. Cette fois ci, je me sens pro, rodée : chaussures adhocques, sac à dos rouge, doudoune car il fait froid, pique nique dans le sac à dos, kleenex pour la sempiternelle goutte au bout du nez. Train pour Fontainebleau à 2 étages, comme les bus londoniens. Arrêt en rase campagne (là, c’est comme dans les films d’Hitchcock ou les romans d’Agatha Christie, ou les 2 à la fois) ; Tout un chacun papote ou jacasse, comme à l’accoutumée, ils sont contents de se revoir et émoustillés à l’idée de se repérer à la boussole… miam miam ! moi aussi, j’aime ça ! la maitresse est gentille, elle explique bien, et j’ai tout compris, je suis contente. La doudoune ne me quittera pas, il fait trop froid ; organes vitaux à l’abri et au chaud, mais les extrémités n’arriveront pas à se réchauffer. Je marche facilement, bercée par le ronron des conversations : chirac, villepin, c’est là que le bât blesse, israel, tiens, voilà un oiseau rare qui estime que dans tout conflit, les torts sont en général partagés ; pessimisme, optimisme, faut-il se préparer à partir ? trop sérieux, heureusement les portables sont de la « promenade », et on a des nouvelles fraîches et en temps réel du fiston, de la belle-mère, du petit fils. Je dis bien « réel », rien à voir avec certains lecteurs virtuels accrochés en toute impunité irréelle à mon poste de travail. La rando, c’est vrai comme le plancher des vaches. Arrêt pique nique en bord de Seine ; c’est nous les vaches qui regardons passer les chalands, les voitures, les trains sur la rive d’en face. Quelques gouttes attendues, avec la météo, il n’y a plus de surprises et les prévoyantes ont tout l’attirail, cape de pluie, surpantalon imperméable, et même le look de circonstance ; j’adore la cape sur les sac à dos, de profil, ça fait un peu oiseau sub saharien ; Dans la forêt, le vert a gagné du terrain, mais le lierre reste le grand vainqueur sur les troncs, les fraises des bois sont en fleurs, le muguet en feuilles, les petites fleurs violettes et les pissenlits partout. Petit pont sur la Seine, quelques canards sur un cours d’eau, une mini écluse, un gros platane au tronc difforme, grimpée sur la ligne de crête où l’on domine la Seine, puis descente sur la petite gare du retour : déserte, pas un siège , pas âme qui vive. Voilà le train, pour mon repos compensateur.
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Ecrit par poirebellehelene, a 21:05 dans la rubrique "Articles".
rando 1
Ce matin, première randonnée depuis des lustres. J’ai choisi la petite vitesse :3,5km/h. La gare et l’heure du train me sont indiquées, et je m’attends à repérer sans difficulté mes compagnons de route.. ; à quoi ressemble un randonneur du dimanche ? petit sac à dos et look sportif, je suppose. Je tombe sur le quai sur un groupe de mamies qui caquètent, harnachées d’un petit sac à dos : ce doit être ça. Non, elles sont de Gonesse et s ‘engouffrent dans le premier train… qui n’est pas le mien. Restent sur le quai nombre d’individus à sac à dos éparpillés. Je ne peux les questionner tous Je grimpe dans mon train, et à la station suivante, c’est le quai tout entier qui est investi de groupes à sac à dos qui jacassent à qui mieux mieux. La sélection se fera par élimination : mon groupe est le seul à descendre à la bonne gare. On s’aperçoit qu’il a plu, à l’odeur de l’herbe, dit l’une, moi, tout bêtement parce que les sol est mouillé (on a la sensibilité qu’on peut), mais je remarque que l’herbe est également mouillée, ce qui n’est que justice. « bienvenue », nous dit le guide. Je m’aperçois, que mis à part le petit sac à dos, ils ont TOUS des chaussures de randonnée de pros. L’un d’eux est harnaché d’un sac style vieux campeur des années 50 avec petites lanières en cuir, il a également un piolet et un parapluie. Inquiétant. Bon, nous voici en route, les langues sont affutées et les conversations vont déjà bon train. C’est le groupe des vieux, majorité de papis et de mamies qui papotent, et ils en ont des choses à se dire ! Non, je n’écouterai pas. Je suis là pour la nature… et en plus c’est vrai. Hier, c’était le premier jour de printemps, mais il fait encore frais, et je mets au moins 2 heures à me réchauffer en marchant les mains dans les poches. Je me sens légère, l’air est bon, le ciel gris mais on sent que ça va se découvrir. Nous marchons à travers des villages, sur la route, à travers des prairies ou de petites forêts. Tout est là, le chant des oiseaux, le crottin de cheval dans les ornières, les petites violettes , les mauvaises herbes, les orties, normales et blanches qui ne piquent pas (j’ai vérifié), fraises des bois en feuilles, je reconnais la douce France, le pays de mon enfance. Et puis les sous bois, de grands pins couchés, la motte de terre à vif, et les racines à l’air. La nature est en retard d’un mois, parait-il, les arbres sont encore nus, les petites feuilles pointent sur les châtaigners, mais seuls les pins arborent leurs aiguilles. Pourtant, les arbustes sont en fleurs le long des clotures, blancs, on dirait de la neige sur ce fond d’arbres nus, mais aussi jaunes, rouges. Nous croisons des tas de groupes de randonneurs du dimanche, on dirait la corse au mois d’aôut, on se salue, entre congénères. Le parcours est facile, très peu de montées ; Le randonneur au sac années 50 à tout de suite chaud alors que moi, je suis encore gelée. Je marche seule, mais je ne suis pas seule à marcher seule. Je me régale des conversations, je ne peux pas faire autrement, il aurait fallu que j’emporte des boules quies. On parle de tout, politique, religion, enfants, vacances, voyages, restaurants… j’apprends ainsi incognito à connaître chacun, et d’autre part, je glane des informations qui ne manquent pas d’intérêt… mais c’est une autre histoire…. A la pause pique nique, le soleil est sorti, il fait bon, je suis bien, je sors la crème écran et les lunettes de soleil. Nous reprenons à travers champs, puis petits villages vieillots mais pimpants comme on en voit partout à la campagne, des petits ruisseaux ici et là, quelques cavaliers, des lotissements aux maisons neuves et des enfants endimanchés qui se poursuivent dans le jardin, de jolies petites mairies aux allures de petits châteaux, la petite église en pierre du nième siècle, tous ces petits villages sont charmants et ont des airs de déjà vu La gare, elle aussi, avec son passage à niveau, et son quai rénové à la moderne avec un rer toutes le demies heures. Mais moi, je serai raccompagnée en voiture ou je pourrai faire un petit somme réparateur
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Ecrit par poirebellehelene, a 19:05 dans la rubrique "Articles".
rando 1
Ce matin, première randonnée depuis des lustres. J’ai choisi la petite vitesse :3,5km/h. La gare et l’heure du train me sont indiquées, et je m’attends à repérer sans difficulté mes compagnons de route.. ; à quoi ressemble un randonneur du dimanche ? petit sac à dos et look sportif, je suppose. Je tombe sur le quai sur un groupe de mamies qui caquètent, harnachées d’un petit sac à dos : ce doit être ça. Non, elles sont de Gonesse et s ‘engouffrent dans le premier train… qui n’est pas le mien. Restent sur le quai nombre d’individus à sac à dos éparpillés. Je ne peux les questionner tous Je grimpe dans mon train, et à la station suivante, c’est le quai tout entier qui est investi de groupes à sac à dos qui jacassent à qui mieux mieux. La sélection se fera par élimination : mon groupe est le seul à descendre à la bonne gare. On s’aperçoit qu’il a plu, à l’odeur de l’herbe, dit l’une, moi, tout bêtement parce que les sol est mouillé (on a la sensibilité qu’on peut), mais je remarque que l’herbe est également mouillée, ce qui n’est que justice. « bienvenue », nous dit le guide. Je m’aperçois, que mis à part le petit sac à dos, ils ont TOUS des chaussures de randonnée de pros. L’un d’eux est harnaché d’un sac style vieux campeur des années 50 avec petites lanières en cuir, il a également un piolet et un parapluie. Inquiétant. Bon, nous voici en route, les langues sont affutées et les conversations vont déjà bon train. C’est le groupe des vieux, majorité de papis et de mamies qui papotent, et ils en ont des choses à se dire ! Non, je n’écouterai pas. Je suis là pour la nature… et en plus c’est vrai. Hier, c’était le premier jour de printemps, mais il fait encore frais, et je mets au moins 2 heures à me réchauffer en marchant les mains dans les poches. Je me sens légère, l’air est bon, le ciel gris mais on sent que ça va se découvrir. Nous marchons à travers des villages, sur la route, à travers des prairies ou de petites forêts. Tout est là, le chant des oiseaux, le crottin de cheval dans les ornières, les petites violettes , les mauvaises herbes, les orties, normales et blanches qui ne piquent pas (j’ai vérifié), fraises des bois en feuilles, je reconnais la douce France, le pays de mon enfance. Et puis les sous bois, de grands pins couchés, la motte de terre à vif, et les racines à l’air. La nature est en retard d’un mois, parait-il, les arbres sont encore nus, les petites feuilles pointent sur les châtaigners, mais seuls les pins arborent leurs aiguilles. Pourtant, les arbustes sont en fleurs le long des clotures, blancs, on dirait de la neige sur ce fond d’arbres nus, mais aussi jaunes, rouges. Nous croisons des tas de groupes de randonneurs du dimanche, on dirait la corse au mois d’aôut, on se salue, entre congénères. Le parcours est facile, très peu de montées ; Le randonneur au sac années 50 à tout de suite chaud alors que moi, je suis encore gelée. Je marche seule, mais je ne suis pas seule à marcher seule. Je me régale des conversations, je ne peux pas faire autrement, il aurait fallu que j’emporte des boules quies. On parle de tout, politique, religion, enfants, vacances, voyages, restaurants… j’apprends ainsi incognito à connaître chacun, et d’autre part, je glane des informations qui ne manquent pas d’intérêt… mais c’est une autre histoire…. A la pause pique nique, le soleil est sorti, il fait bon, je suis bien, je sors la crème écran et les lunettes de soleil. Nous reprenons à travers champs, puis petits villages vieillots mais pimpants comme on en voit partout à la campagne, des petits ruisseaux ici et là, quelques cavaliers, des lotissements aux maisons neuves et des enfants endimanchés qui se poursuivent dans le jardin, de jolies petites mairies aux allures de petits châteaux, la petite église en pierre du nième siècle, tous ces petits villages sont charmants et ont des airs de déjà vu La gare, elle aussi, avec son passage à niveau, et son quai rénové à la moderne avec un rer toutes le demies heures. Mais moi, je serai raccompagnée en voiture ou je pourrai faire un petit somme réparateur
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Ecrit par poirebellehelene, a 19:05 dans la rubrique "Articles".
Lundi (01/05/06)
cuisineblog... quelle blague!
Très déçue par les « blogs cuisine»…. Je ne suis sans doute pas assez mûre ! Très à la mode, certes…mais je suis ringarde probablement. J’ai expérimenté les courgettes râpées, mais oui, on aura tout vu : « pourquoi donc les sempiternelles carottes râpées ? Changeons un peu ! » Eh bien, les courgettes râpées, je n’y reviendrai pas : On vous propose de leur donner du goût, ou de masquer leur absence de goût en ajoutant du citron, des noix, et que sais-je encore… enveloppées de bla bla et de l’air du temps, après un apéritif qui fait voir les courgettes en rose radis ou rouge carotte, peut-être. Mais, dans notre douce France, où les courgettes sont connues depuis des siècles, si on n’a pas retenu l’idée de les manger crues et râpées…. C’est assurément que ce n’est pas bon.. Original, peut-être, mais de la haute gastronomie : non ! La lecture soutenue des blogs cuisine me ramène aux classiques carottes râpées, salades de tomate nature, ou pistou mozzarelle qui ont fait leurs preuves. Je ne suis pas contre un brin d’originalité, ou plutôt d’exotisme, mais ne prenons pas trop de risques. Je revisiterai les blogs quand j’aurai réussi une bonne blanquette de veau : d’abord les grands classiques, plus tard, la fantaisie, la cuisine qui surprend, la cuisine sophistiquée.. Le poulet aux Smarties, ça n’est pas pour aujourd’hui !
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Ecrit par poirebellehelene, a 20:05 dans la rubrique "Articles".
hier
Hier, c’était la fête, c’est chouette, les miettes de galette sur la table et sur le tapis, une boisson rouge dans les verres (à pied): vin doux ? vin normal ? jus de raisin ? les mains poisseuses de harosset, la danse du plateau sur les têtes ; chacun chante, récite, raconte, annone dans son patois personnel, pas de honte, on est entre nous ; il nous reste à tous suffisamment de quoi rebondir, inch allah ! voici les rengaines de toujours, les vestiges des EI, les airs d’antan sont aujourd’hui à notre table, auberge espagnole traditionnelle. Et puis les préoccupations présentes emboitent le pas à celles de nos ancêtres : sortir d’Egypte, encore et toujours
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Ecrit par poirebellehelene, a 19:05 dans la rubrique "Articles".
Mercredi (12/04/06)
ce soir
Ce soir, c’est a fête ! le printemps s’annonce, l’air est frais mais le soleil est chaud ; les forsythias sont en fleur, du jaune partout, les lilas pointent, les jonquilles sont déjà presque fanées ; les gants sont dans le placard, les radiateurs sont éteints ; la cheminée est prête pour la dernière flambée de l’hiver ; remballées les bourrasques et les giboulées ; les vacanciers de Pâques sont sur les routes, ils nous laissent un gentil vide dans les rues ;la maison a pris son bain, elle est toute propre, pas un miette de pain ni de poussière ; la nappe transpire l’eau de javel et les enzymes gloutons, elle rutile presque ; le plateau essaye de briller, bancale sur ses trois pieds ; le céleri flirte avec la laitue, les dattes ont fait pire avec les noix, la galette est prête pour les sandwichs, l’os est encore dans la marmite ; le poisson, les fèves e les piments rouges sont au rendez vous ; les gâteaux s’acharnent à essayer de lever sans farine ni levure ; Le chocolat, les amandes et la noix de coco sont venus à la rescousse ; n’oublions pas le vin doux, recette spéciale maison, assisté du jus de raisin ; les verres à pied, les livres, les calottes attendent….les comédiens peuvent entrer en scène : à ce soir, si vous le voulez bien….
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Ecrit par poirebellehelene, a 18:04 dans la rubrique "Articles".
Lundi (20/03/06)
pensée sauvage
Ce matin, ma pensée sauvage à la Levy-Strauss-Kahn s'est envolée par la fenêtre, au mépris de la vitre. Les piafs picorent les pommes de pin, la tête en haut, la tête en bas, les pattes en bas, les pattes en haut. Ils se rient de la grippe aviaire, ne savent même pas ce que c'est, pauvres imbéciles heureux. Ne savent même pas que ce pourrait être la solution finale pour les pigeons de la Capitale (l'abbé, range ta carabine et souris dans ta tombe, plus de fientes sur Saint Sulpice!). N'empêche que la sapin, ils le grattent sûrement là ou il faut, car il dodeline des branches, voluptueusement, un vrai plaisir... Le laurier aussi, je l'entends qui étanche son prurit sur les ardoises... drôlement jouissifs, ces végétaux! Et pendant ce temps là, les doigts du virtuose s'époumonnent sur Radio Classique. Sûr, ça vaut mieux que d'attrapper la scarlatine. Allons, debout, mignonne, allons voir s'il reste UN bon sauvage sur le macadam, allons ouvrir ma déclaration d'impôts, pochette surprise ou DSK m'a sûrement glissé un petit cadeau???
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Ecrit par poirebellehelene, a 22:03 dans la rubrique "Articles".
Dimanche (12/03/06)
essai
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Ecrit par poirebellehelene, a 16:03 dans la rubrique "Articles".
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